On y exploita également des mines de charbon dont le minerai était chargé sur des bateaux. Du quai de chargement, d'une longueur de 800 m, il ne reste aujourd'hui que les traces de quelques pilotis. A Collingwood, nous nous sommes inscrits pour faire une excursion dans la langue de terre qui ferme le nord de la Golden Bay. Cette région est une réserve protégée, interdite au public sauf dans le cadre d'une visite organisée en bus tout terrain et limitée à 20 personnes par jour.
Après avoir longé la côte pendant une vingtaine de km, on traverse des collines
pour arriver à un point de vue qui surplombe le magnifique Cap Farewell (pointe la plus au Nord de l'île de Jade).
En regardant dans l'autre direction, on voit dans le lointain, l'immense langue de sable que nous allons bientôt parcourir.La route s'arrête ici, au bord de la plage mais le véhicule est équipé pour rouler dans le sable à marée basse.
La première partie de la langue de sable est encore végétalisée et rocheuse. Notre guide nous arrête vers des rochers qui abritent une colonie de phoques.
La langue de terre qui s'avance en pleine mer sur une longueur d'environ 30 km est composée de deux entités. Du côté de la baie se forment des dunes de sable, plus ou moins végétalisées. C'est cette partie que le service néo-zélandais de la conservation de la nature essaie de préserver à tout prix.
Du côté de l'océan, la marée lisse une bande de sable sur laquelle nous pouvons rouler.
A l'extrémité de la "Farewell Spit", on atteint un oasis créé autour du phare qui balise l'entrée de la Golden Bay.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire